À la découverte du thé !
J’ai toujours pensé que le thé était réservé aux vieilles dames… tout particulièrement anglaises ! Plantons le décor : ambiance vieille porcelaine et napperons brodés dans un salon donnant sur Hyde Park Avenue avec cette bonne odeur de thé de fin d’après-midi londonienne… bref, le thé ce n’était pas vraiment mon truc… jusqu’à ce jour de 1998 à Washington où j’ai assisté à une conférence scientifique sur la nutrition et la santé.
Xavier Comtesse, mathématicien
Photos : AETEA Limited, www.aetea.ch
Bouleversant !
Les scientifiques sont formels : les aliments sont notre premier médicament et le thé en particulier peut jouer un rôle clé dans la prévention, notamment grâce à ses propriétés anti-oxydantes.
Avant cette conférence, j’ignorais tout des vertus du thé dans le domaine médical. Pour moi c’était avant tout une boisson comme une autre qui demandait un peu plus d’attention dans son élaboration. Il fallait connaître les différents arômes, savoir les tester, choisir la qualité de l’eau, avoir le doigté dans sa préparation savante et surtout être capable de l’apprécier. Mais j’avais décidé de réserver tout ce travail pour plus tard… quand je serais plus vieux.
Et pourtant, il y avait un autre usage bien plus important que l’histoire nous enseignait et que je semblais ignorer : en Chine cela faisait plus de 4 000 ans que l’on utilisait les capacités thérapeutiques des différents thés dans une médecine très orientée prévention.
Voilà le début de ma découverte. Elle fut surtout théorique, car dans la pratique je n’avais pas encore commencé à boire du thé à cette époque. Ce n’était toujours pas ma tasse de thé si j’ose le dire ainsi.
C’est beaucoup plus tard, après plusieurs voyages en Asie, que j’ai compris l’importance du thé… et ceci surtout pour la santé. Les civilisations chinoise, japonaise et d’extrême orient abordent en général cette thématique de manière bien plus médicinale que les habitants d’Inde ou de Ceylan. C’est une véritable culture chez eux qui s’apparente à un savoir, à une connaissance qu’il faut apprendre longuement.
Chaque thé dévoile ses propres qualités au niveau goût mais, surtout, chaque thé possède toutes sortes de vertus qui lui sont spécifiques. C’est ainsi que l’on découvre, petit à petit, l’existence de thés de très « haute qualité » qui ont réellement une valeur supérieure ! C’est cette recherche qui est finalement passionnante : plus on apprend, plus on s’aperçoit de la profondeur de notre ignorance. Et puis on finit par remonter la pente du savoir et cela devient franchement que du bonheur. On pénètre dans la connaissance et la maîtrise de la santé, notre santé.
Savoir choisir son thé
En premier lieu, il faut commencer par identifier les régions de production, car cela ne sert à rien de sélectionner des provenances à risque comme une région à forte pollution (métaux lourds), avec un usage abusif de pesticides ou de produits phytosanitaires (engrais). Bref, il y a vraiment beaucoup de régions productrices de thés dans le monde avec des labels de qualité qui laissent à désirer. Donc, il faut commencer par éliminer certaines régions qui peuvent aujourd’hui être véritablement problématiques et conduire à une déception.
Heureusement, quelques-unes de ces contrées lointaines sont de véritables terroirs à thé pour leur qualité. Par exemple, les montagnes chinoises au sud de la province du Yunnan offrent les thés de la meilleure qualité car ils sont produits à plus de 1 800 m. d’altitude. Les empereurs chinois ne buvaient d’ailleurs que du thé du Yunnan. Ils avaient raison : il faut connaître la provenance… un peu comme dans les vins, cela fait déjà une grande différence.
Le type d’arbre a aussi son importance. Saviez-vous que, par exemple dans certaines régions, il y a des théiers centenaires et même millénaires ? La qualité gustative des thés uniques issus de ces arbres et leurs effets sur la santé les classent parmi les meilleurs au monde !
Ce n’est pas tout, le thé est classé en six familles souvent de couleur, de préparation et bien sûr de goûts différents : le vert, le noir, le blanc, le thé sauvage ou « Pu Er », le jaune ou encore le Oolong. Il va falloir apprendre à les discerner sérieusement ! Car chaque thé traite différents besoins de santé.
Pour cet exercice, je me suis fait conseiller par le fils d’un ami qui apprend à devenir « grand maître ». C’est la seule méthode à mes yeux : apprendre de ceux qui savent déjà. C’est plus simple et plus sûr. A cet effet, il a créé récemment une entreprise qui importe du thé de Chine de « très haute qualité » qu’il vend sous la marque AETEA. On y trouve essentiellement quatre familles de thés aux vertus remarquables.
Thé vert
Le thé vert possède de puissants antioxydants qui protègent des rayons UV, réduisent les risques cardiovasculaires, d’obésité, de diabète et de cancer. Les composés responsables de l’effet antioxydant du thé vert sont les polyphénols, présents en plus grande quantité que dans le thé noir et le thé sauvage.
Thé blanc
En plus de ses propriétés anti-oxydantes, le thé blanc possède un effet protecteur contre le cancer par sa capacité à diminuer les mutations de l’ADN et la prolifération des cellules cancéreuses.
Thé sauvage (ou Pu Er)
Dans la médecine traditionnelle chinoise, le thé sauvage est réputé pour agir sur le cholestérol et diminuer la pression artérielle. La concentration de composés antioxydants diminue au cours du processus de fermentation. Par conséquent, le thé sauvage est moins riche en antioxydants que les thés verts et blancs.
Thé noir
Avec sa faible quantité de caféine et la présence de L-théanine, le thé noir est très relaxant. Sa capacité à réduire la production de cortisol en fait un puissant anti-stress. Le thé noir contient également de nombreux polyphénols antioxydants.
Et maintenant à votre tour d’entamer le chemin de la découverte du thé !
En tant que produit favorisant la santé, il est logique de trouver du thé à la Pharmacie Principale. Mais il faut être sûr que les qualités santé ne sont pas altérées par des toxines, comme c’est le cas de nombreux thés qui contiennent des métaux lourds, des pesticides et d’autres toxiques. Notre choix s’est porté sur les thés AETEA car ils proviennent de théiers centenaires des montagnes du Yunnan en Chine. Ils sont cultivés et préparés en altitude par des minorités ethniques dont le savoir-faire est millénaire, et ils sont cueillis à la main. Et surtout, ils ont passé avec succès les tests de qualité très exigeants de la Société Générale de Surveillance, tests qui sont disponibles sur le site www.aetea.ch.
Enfin, leur finesse et leur goût ont été reconnus par de grands connaisseurs. Venez les découvrir en exclusivité, et faites-vous plaisir en vous faisant du bien !
« En Chine, cela fait plus de 4000 ans que l’on connaît les vertus thérapeutiques du thé. »
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